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Règle et Solidarité

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Mensaje  juanto 23.05.14 21:44

Règle et Solidarité
 
Édification de l’Homme et édification communautaire
 
 
« Être homme, c'est précisément être responsable. C'est connaître la honte en face d'une misère qui ne semblait pas dépendre de soi. C'est être fier d'une victoire que les camarades ont remportée. C'est sentir, en posant sa pierre, que l'on contribue à bâtir le monde. » 
Saint-Exupéry, Terre des hommes.
 
« L'homme s'ennuie du bien, cherche le mieux, trouve le mal et s'y soumet par crainte du pire. »
Gaston De Lévis
 
Les mots, leurs sens et leurs assemblages.
 
Au début le sujet était Règle et Solidarité, deux mots qui ont longtemps été des maux, puisqu’ils ont toujours réveillé en moi, la méfiance, le doute. Je m’explique. Il n’y a pas de bien sans mal.
Le mot règle implique automatiquement la perte de la liberté, le conditionnement, la mesure, mais il est en même temps nécessaire pour connaître les limites, nos droits et nos obligations.
Dans les arts martiaux ou tout autre sport, elle est le gage d’une meilleure réussite. Elle enseigne la rigueur, l’effort, action au bon moment, le pragmatisme.
Le mot solidarité renvois à faire le bien, donner, vivre, partager avec les autres connus ou inconnus. Le mot dévoile le bien qu’y a en nous. Il s’appuis sur l’innocence, la gentillesse et la capacité de pardonner, puisque dans notre clairvoyance, on est capable de partager même avec celui qui n’a aucune affinité ou qui conscient ou inconsciemment pourrait me faire du mal.  Son côté obscur pourrait être qu’il devienne une obligation. Si le groupe existe, c’est pour le bien de tous, la solidarité est évidente y peut être comme l’amour, inconditionnel. Cependant si le mot existe, si on en parle c’est bien parce qu’elle manque et que notre égoïsme à pris le dessus.
 
Par bonheur le sujet s’est vu enrichir par un complément, comme une fenêtre ouverte :
 
Édification de l’Homme et édification communautaire.
 
Édification
 
Suis-je une maison ou un édifice ?
Pour ma famille ou pour plusieurs ?
Pour moi et pour les autres ?
 
Premières impressions :
Edification, édifier, construire, le mot va vers le haut. L’édification n’est pas la construction d’une simple maison.  L’édification, demande surtout le travail d’un architecte, l’élaboration d’un projet, la mise en place de plusieurs règles pour que le tout prenne forme.
Pour qu’il y ait une cohérence entre les différents éléments apportés (murs, toit, piliers, escaliers) il faut des règles. Ses règles proviennent de calculs savants, selon les différents matériaux utilisés (pierres, bois, ciments, tuiles). Elles sont étroitement liées à l’environnement, à la topographie et aux demandes.
Ces règles construisent l’édifice. Pour que celui-ci soit utilisé, il doit montrer sa solidité, sa cohérence dans l’ensemble, son harmonie. Ses éléments doivent être pratiques, ergonomiques, se confondre ou ressortir selon sa fonction.
 
Alors :
Si je suis une construction, suis-je une simple maison ? Cependant une simple maison pour exister doit répondre quand même à des règles.
Nous sommes passés de la grotte, du simple nid douillet fait avec des feuilles et des branches à une construction faite d’un toit, quatre murs, une porte et des fenêtres, plus une cheminée. Chaque élément a sa fonction et son intérieur est structuré.
Pour la construire il m’a fallu des outils, eux aussi spécifiques selon les matériaux utilisés. Donc de l’homme animal je suis passé à l’humain. De l’homme qui vit au début seul, mais près du groupe pour la reproduction ou le plaisir, à celui qui s’est laissé emporter par son instinct grégaire et qui vit en communauté, qui fonde plus tard un groupe familial, autour du feu, social et structuré.
 
Pour que ma maison prenne une forme extérieure définitive il m’a fallu devenir sédentaire. Trouver le lieu, les personnes, le groupe avec lequel je pourrais partager mes affinités et échanger mes qualités. Donc le groupe implique l’existence, le rapport que nous avons avec notre environnement. Vivre, échanger avec les autres. Chaque groupe social se construit et fonctionne sur des valeurs, des codes que chacun se doit de respecter. Pour ne pas être dénigré, exclu il faut aller dans le sens du groupe.
 
L’intérieur de ma maison a été fait pour accueillir les miens et mes proches. Elle a donc pris forme lorsque les différents composants de ma famille, constituant mon foyer, se sont installés. De la maison familiale primitive d’une seule pièce à celle qui à travers le temps a créé des espaces pour notre intimité ou pour des fonctions bien précises. L’intérieur s’est codifié, c’est structuré.
 
Que ce soit de façon externe ou interne, la vie impose des règles. Nous sommes une unité qui tien de son intérieur vers son extérieur et vice-versa. Vivre avec une maison, nous emmène à réfléchir, à nous construire.
De l’extérieur, elle établie clairement les catégories sociales du groupe, leurs fonctions dans la communauté,  l’image si importante à notre société occidentale.
De l’intérieur, elle expose ce que vous êtes vraiment, votre façon de penser, de voir la vie. Par sa disposition de l’espace, et des objets qui s’y trouvent elle vous dévoile, parfois vous trahit.
 
L’homme
 
Pour que l’homme se construise et s’édifie, il lui faut aussi un architecte. Un guide, un chemin à prendre, un exemple.
Ce guide aurait pu être l’expérience, la sagesse des anciens, le savoir populaire. Ces connaissances  guident les hommes, mais pour cela il faut les dicter, donc avoir un chef charismatique, qui est souvent le plus fort et qui sait mettre le miel au bout de ses flèches.
Le chef, celui qui sait, qui a gardé en mémoire et qui a retenu les différentes expériences de la vie, dicte sa volonté à son peuple avec la raison ou la force. Chose que l’on peut très bien imaginer au début de l’humanité.
Afin de mieux se connaître et de respecter les autres, il paraît évident que les premiers groupes devaient être ethniques pour plus tard se créer par affinités ou par intérêts ... Ainsi on peut mieux comprendre que l’homme se soit dicté des lois pour vivre ensemble.
 
Mais même ainsi, il y a des questions sans réponses qui ne peuvent être données que par un autre architecte. Lorsque le groupe devient trop grand et que les règles doivent être entendues par tous, surtout si le groupe a besoin de réponses qui dépassent l’entendement du chef. L’homme a recours au chamane, au sorcier qui eux invoquent les esprits, les forces invisibles pour trouver des solutions. Il invoque celui qui fait ce que l’homme ne peut pas faire. Un être supérieur, les dieux de la pluie, de la foudre ... le soleil. Celui-ci ne peut être qu’un dieu, un être qui est par dessus les autres. Un être avec qui on communique pour combler ignorance de l’homme. (Même un roi a son Dieu).
 
Se construire est alors un travail et un combat dans le temps. Une recherche de soi, qui se fait lentement par la compréhension et la mémoire. Les valeurs qui me portent, se font dès mes premiers jours de conscience dans mon groupe.
Je découvre ce que je peux et ne dois pas faire. J’apprends à me comporter, à parler aux autres, à échanger. Dès que j’échange, je comprends les conséquences de mes mots et de mes actes.
Se construire est alors un savoir, la connaissance de soi implique aussi la compréhension de l’autre. Puis s’assumer et ne pas avoir peur d’avancer ou de se modifier.  « Caminante no hay camino se hace camino al andar » (Traduction : ...)
Pour ne pas se perdre, vivre en groupe nous oblige à respecter les autres.  Dans l'Exode, Dieu dicte à Moïse les « dix » commandements sur les Tables de la Loi, qu’il a transmit, donné à son peuple (pour enfin les briser.)

1-               
Tu n’auras pas d’autres dieux que moi (v.3)
2-               
Tu ne feras aucune image sculptée (v.4)
3-                Tu ne te prosterneras pas devant ces images ni ne leur rendras un culte (v.5)
4-                Tu ne prononceras pas à faux le nom de Yahvé, ton Dieu (v.7)
5-                Souviens-toi du jour du sabbat pour le sanctifier (v.Cool
6-                Honore ton père et ta mère (v.12)
7-                Tu ne tueras pas (v.13)
8-                Tu ne commettras pas d’adultère (v.14)
9-                Tu ne voleras pas (v.15)
10-            Tu ne porteras pas de faux témoignage contre ton prochain (v.16)
11-            Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain (v.17, a)
12-            Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain (v.17, b)
 
Les 4 premiers commandements concernent Dieu et son service.
Les suivants concernent le respect des droits du prochain. (Pas de droits sans devoirs.)
Ils sont : Les lois de la communauté. 
 
Et pour les autres ?
 
"Les hommes sont éperdus d'admiration au spectacle des grandes montagnes, des puissantes vagues des mers ou de l'infini étoile du firmament, mais ils ne pensent jamais à contempler les merveilles qu'ils ont en eux".  
"Au lieu d'aller dehors, rentre en toi-même. C'est dans l'homme intérieur qu'habite la Vérité". 
Saint Augustin
 
Quelles sont les mots pour garder une bonne conduite : éthique, morale, déontologie … ?
De toute façon, ces mots sont des guides aujourd’hui pour vivre en groupe, avec d’autres voisins aux coutumes bien différentes.
 
Je me pose des questions !
A-t-on besoin de Dieu donc, pour savoir où est le bien et le mal ?
Mais quelle est la véritable loi ? Celle de la nature ? Du plus fort ?
N’y a-t-il pas un peu d’animal en nous ? Et l’animal n’est-il pas plus noble et plus juste que nous ? Puisque ses actions ne seront jamais faites avec méchanceté ou pour nous nuire, à moins qu’il soit dressé pour cela ou qu’il ait eu un contact avec nous.
 
Si cela ne se fait pas par la force alors la règle implique qu’elle soit appliquée par la raison. Les mots, l’éducation, l’instruction sont là pour modifié la conduite et nous emmener à respecter les normes établies. Finalement ce qui paraît bien et louable dans son principe est une simple manipulation des esprits qui éloigne l’homme d’une partie de sa véritable nature.
 
Alors, il ne faut pas perdre le lien avec ses instincts et l’intuition ?
Avec l’animal qui est en nous ?  Celui qui ne connaît pas l’esclavage ou la domination par la cupidité et qui ne se perd pas dans l’avarice.
 
S’il y a plusieurs choses qui nous séparent de l’animal, parfois il est préférable d’en être un.
 
« Les sept filles qui naissent de l'avarice sont : la trahison, la fraude, la tromperie, le parjure, l'inquiétude, la violence, la dureté de coeur ou insensibilité à l'égard des misères d'autrui. »
 
« Les hommes se révoltent contre Jésus, parce qu'ils ne veulent pas se convertir, s'humilier, se mortifier, combattre leurs cupidités et leurs passions. » Jacques Bénigne Bossuet, dans le Dict. de DOCHEZ.
 
 
 
Alors, règle et solidarité une vraie contradiction ?
 
Dans la vie animale, chaque membre, chaque espèce a un rôle à jouer. Ils sont complémentaires, et forment même une chaîne alimentaire. Ils vivent en symbiose.
Et Nous ? Sommes-nous fait pour vivre avec les autres ?
Pourquoi a-t-on besoin de règles pour exister ?
 
En devenant humain nous avons perdu la notice de l’animal que nous étions et nous avons chercher un Dieu pour nous retrouver et reprendre notre place au milieu des autres.
Nous avons perdu notre liberté, et nous nous sommes imposés des conduites à suivre.
 
Ses conduites semblent évidentes, et enfouies dans notre sagesse. Dans notre nous primitif, celui qui cache les choses les plus sensées que nous connaissons sans savoir pourquoi. Ces valeurs, semble être notre chemin. Une écriture invisible.
 
Est-ce donc Dieu qui s’est placé en nous ?
Quels sont les déclencheurs de ces connaissances ?
Des mots comme des clés ? 
 
Quelles sont les valeurs qui justifient l’édifice que je suis ?
Quels sont les liens qui m’unissent aux autres ?
Qu’est-ce qui peut me désorienter ?  
 
Le bruit, le manque de temps, la vitesse qui provoque le stress.
 
Les liens qui nous unissent dans le groupe vont avec les sentiments, d’amour et d’amitié, créer, tisser un réseau, une fraternité qui va tenir d’elle-même. Ce en quoi nous croyons, nos idéaux vont nous unir et maintenir.
Maintenant il y des sentiments communs quelques soient les groupes qui vont nous rappeler que nous sommes de la même espèce. La compassion face à une tragédie, quelque soit la couleur, le pays, la religion. Cette douleur partagée synonyme d’empathie, de pitié, compassion, de comprendre, ressentir et partager la tristesse, le chagrin, la peine.
 
 « On doit avoir pitié des uns et des autres mais on doit avoir pour les uns une pitié qui naît de tendresse, et pour les autres une pitié qui naît de mépris. »   Blaise Pascal
 
Je pourrais finir avec cette histoire, du promeneur sur la plage qui rejette les étoiles de mer à la mer que les vagues ont éloigné de l’eau. Une personne le voyant lui dit que cela est inutile, car cela se répète partout, sur toutes les plages du monde et qu’il y a des milliers d’étoiles et qu’il ne peut pas toutes les sauver … Il répond « c’est dans ma nature », et en reprenant une étoile, il dit « pour elle ce n’est pas inutile », mais je viens juste de commencer.
 
Les règles sont importantes pour nous unir, pour se reconnaître. Pour vivre en harmonie, mot déjà traité y qui impliquait la rigueur et l’importance de l’ordre, celle des chiffres, pour établir des normes, dans la musique, comme dans l’image, beauté acoustique et visuel, canon esthétique en constante évolution.
 
Règles, normes, protocoles tant de mots pour nous structurer.
 
Un protocole est une méthode standard qui permet la communication entre des processus (s'exécutant éventuellement sur différentes machines), c'est-à-dire un ensemble de règles et de procédures à respecter pour émettre et recevoir des données sur un réseau.
 
En Informatique, en médecine ou en commerce la rigueur des échanges, répond à des lois strictes, à chaque action une réaction et cela semble évident, mais l’être que nous sommes n’est pas tout cela. Sa complexité l’en éloigne et parfois les règles si bonnes pour notre société arrivent à oublier l’humain.
 
Les règles, donc ne doivent pas aveugler notre être, celui qui sait, qui nous montre le chemin.
 
 
L’édifice communautaire
 
Des fondations au toit, des racines à la cime, les normes nous construisent pour être ensemble. La parole, le texte, l’écrit, les mots et symboles nous unissent et nous séparent. En nous serrant les coudes, le groupe s’organise au travail.
 
De fondations aux fondements.
 
Exemple :
 
LES  FONDEMENTS DE LA VIE CHRÉTIENNE

TABLE DES MATIÈRES
Leçon   1    Les Fondations
Leçon   2    Le  Salut
Leçon   3    La repentance
Leçon   4    La foi envers Dieu
Leçon   5    Le baptême  par immersion
Leçon   6    Le  Saint - Esprit
Leçon   7    Nouvelle identité : nouvelle vie
Leçon   8    Ajoutés à l’église
Leçon   9    La doctrine apostolique
Leçon  10    La communions fraternelle
Leçon  11    La  Sainte Cène
Leçon  12    Culte personnel : la prière
Leçon  13    Le jeûne
Leçon  14    Le combat personnel
Leçon  15    Louange et adoration
Leçon  16    Dîmes et offrandes
Leçon  17    Être membre de l'église
Leçon  18    Le retour de Jésus-Christ



LES FONDATIONS

Leçon  1


CONSTRUIRE UN SOLIDE FONDEMENT

INTRODUCTION :

 
En tant que chrétiens nés de nouveau, chacun de nous commence une vie nouvelle en Jésus-Christ. La bible nous dit " toutes choses anciennes sont passées, voici toutes choses sont devenues nouvelles " 2 Cor. 5 / 17. Comme exposé précédemment, c'est une opportunité divine de construire une toute nouvelle vie.
Pour suivre l'ordre d'une construction nouvelle, nous devons commencer par les fondations et démarrer à neuf. Toutes constructions démarrent et dépendent constamment des fondations. Au plus grand nous voulons construire, au plus profond nous devons creuser les fondations. Que Dieu nous aide alors que nous nous efforçons d'établir une solide fondation.
 
1 – LES FONDATIONS SONT TRÈS IMPORTANTES.

A – La bible fait souvent référence à nos vies comme des structures spirituelles.
 
1-"le temple du Saint-Esprit "
2-"le temple de Dieu "
3-"l'édifice de Dieu "
4-"une maison spirituelle "
5-"tout l'édifice, bien coordonné "
1 Cor 6/19
1 Cor 3/16
1 Cor 3/9
1 Pier. 2/5
Eph. 2/21,22

B – Définition de " fondation "

1 – en grec : "quelque chose mis à plat, établir une base pour que quelque chose puisse être".
2 – en français et en anglais : "travaux qui préparent la construction des fondements d'un édifice ; travaux souterrains sur lesquels quelque chose est construits.  La force de ce qui est construit sur les fondations sera fonctions de la force de ces fondations (de la solidité). La fondation est le "non vu qui est sous la surface".
 
C – Beaucoup de soins doivent être donnés pour établir les fondations correctement.

1 – Tout édifice commence par une pierre d'angle.
Selon les habitudes de construction à l'époque du Nouveau Testament, quand les hommes étaient envoyés pour construire un édifice, ils voulaient des pierres qui s'ajusteraient parfaitement. La pierre la plus importante dans tout l'édifice était la pierre d'angle. La perfection de la pierre d'angle aidait à maintenir  la parfaite symétrie de tout le reste de la construction. Comme un fil à plomb peut être tendu dans chaque direction, la pierre angulaire établit les lignes directrices pour la construction à la fois horizontalement et verticalement. Si  un des angles déviait, tout l'édifice déviait et pouvait s'effondrer extérieurement ou intérieurement.
" Voici, j'ai mis pour fondement en Sion une pierre, une pierre éprouvée, une pierre angulaire de prix, solidement posée. Celui qui la prendra pour appui n'aura point hâte de fuir " Esaie 28/16

2 – Jésus est la pierre angulaire pour la vie du croyant.
"Car personne ne peut poser un autre fondement que celui qui a été posé, savoir Jésus-Christ " Cor.3/11
" Vous avez été édifiés sur le fondement des apôtres et des prophètes, Jésus-Christ étant lui-même la pierre angulaire " Eph. 2/20

3 – Certains ont choisi de rejeter la façon dont Dieu construit.
" La pierre qu'ont rejetée ceux qui bâtissaient est devenue la principale de l'angle : c'est du Seigneur que cela est venu, et c'est un prodige à nos yeux. C'est pourquoi, je vous le dis, le royaume de Dieu vous sera enlevé et sera donné à une nation qui en rendra les fruits. Celui qui tombera sur cette pierre s'y brisera, et celui sur qui elle tombera sera écrasé " Matt. 21/42-44

4 – La suite de la construction dépend de notre fondation.
" Selon la grâce de Dieu qui m'a été accordée, j'ai posé le fondement comme un sage architecte et un autre bâtit dessus. Mais que chacun prenne garde à  la manière dont il bâtit dessus " 1Cor. 3/10

5 – Pour construire, il faut prendre grand soin des fondations de notre nouvelle vie en Christ. Nous pouvons connaître la réussite ou la ruine selon la façon dont nous construisons.
Ps.11/3 " Si les fondements (fondations) sont détruits, que peut faire le juste ? " voir 1 Cor.3/12-15 ; Prov.24/3à5.

2 – LES DEUX BÂTISSEURS

Les deux types de bâtisseurs. Matt.7/24-27 ;  Luc 6/47-49
 
Le constructeur fou
Le constructeur sage
 
1-Entend et ne fait pas
2-N'a pas creusé pour faire des fondations profondes
3-Construit sur des sables mouvants
4-La pluie passe au travers du toit
5-L'inondation noie le fondement
6-Les vents font s'envoler la structure
7-La maison s'écroule
 
 
1-Ecoute et agit
2-Creuse profondément jusqu'à la roche
 
3-Construit sur le Roc
4-La couverture du toit est sûre.
5-Le fondement est sûr
6-N'est pas soumis à tous
7-La maison reste debout de manière forte, ferme.
 
Le bâtisseur sage tiendra tête à tout ce qui  se mettrait entre lui et ce qu'il fonde. Personne n'échappe aux orages, la question n'est pas si l'orage arrivera, mais quand il arrivera! Prov.10/25, vents de doctrine Eph4/14.

3 – ÉLÉMENTS NÉCESSAIRES POUR UN SOLIDE FONDEMENT

A – Lire votre bible
Ps.119/105 ; Ps. 19/8 ; Eph.5/26 ; Eph.6/17
B – Prière /  Communion avec Jésus
Jer.33/3 ; 2 Chron.7/14 ; Rom.12/12
C – Engagement dans l'église  locale
Actes 2/46
D – Partager, donner
Actes 4/32, 2/45 ; 2 Cor.8/3,4 ; Gal. 6/9,10
E – Cœur de Serviteur
Matt. 20/27 ; Marc 9/35 ; Luc 22/26 ; Actes 20/35
F – Relations avec  d'autres croyants
Actes 2/46, 5/42 ; Rom. 12/10, 13/8 ; 1 Pierre 4/8-10
G – Partager votre  foi
Matt.28/18-20 ; Mc.16/15-20 ; Jn.20/21 ;  Actes 1/8
H – Devenir un disciple de CHRIST
Luc 14/26,27 – 17/33 ; Marc 8/34-38 ; Actes 9/10 ; 2 Tim.2/3-5


Du Forum chrétien évangélique, sur le web.
1re Épître de saint Paul aux Corinthiens, Chapitre III
I Cor 3,9. Car nous sommes les coopérateurs de Dieu; vous êtes le champ de Dieu, vous êtes l'édifice de Dieu.

http://www.magnificat.ca/textes/bible/index.html, M. l'Abbé Louis-Claude Fillion, p.s.s., (1843-1927), La Sainte Bible,
La première des phrases qui me vint à l’esprit fut :  
 
« Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Église »
« La pierre qu’ont rejetée ceux qui bâtissaient est devenue la principale de l’angle. » Psaumes 118:22
 
Jésus pierre angulaire ?
Qu’est-ce qu’une pierre angulaire ?
 
Il est dit :
« Le terme de pierre angulaire n'est que peu usité dans la construction, du moins pas dans son terme profond, celui qui en fait la pierre maîtresse de l'édifice. Dans le domaine architectural, une pierre angulaire n'est qu'une pierre à l'angle de la construction, sans symbolique particulière, ni même d'importance de fiabilité sur la résistance des murs.»  Syb.L
« Utilisée en franc-maçonnerie dans les "Constitutions d'Anderson", elle reste un mystère pour les non-initiés.
La pierre angulaire est nommée dans les Évangiles de Saint Mathieu, de Saint Marc et de Saint Luc, comme celle qui a été rejetée par les bâtisseurs, pour n'être qu'installée en pierre d'angle, au lieu d'être utilisée comme le désirait le Seigneur. Ce fait a irrité, au plus haut point, Jésus qui leur promit, à tous, d'être ensevelis par la chute de la construction bâtie sans la pierre angulaire.
On la retrouve dans la première lettre de Saint-Pierre, un apôtre, qui rassemble un nouveau peuple pour bâtir une Église. Chacun serait une pierre de l’Église, et Jésus en constituait la pierre angulaire. 
 
 
Bibliographie : 
*   « Connais-toi toi-même » Actualité de l’injonction de Socrate par Guy Lazorthes.
G.Lazorthes : L’éthique médicale et la philosophie. Lecture Académie des Jeux Floraux, 15 janvier 1998.
*    Les rapports entre Ethique, Morale, Déontologie, Droit et Loi., par Laurence Bounon.
*    Le Pragmatisme : École nationale des beaux-arts de Lyon, SÉMINAIRE THÉORIES / PRATIQUES
Qu’est-ce que le pragmatisme ? La construction du monde par Didier Debaise, Elie During
David Lapoujade, Isabelle Stengers, Niek van de Steeg. Vendredi 28 mars 2007. Lyon.
*   Éthique et Déontologie : implications pour les professionnels, Pierre Verdier, Fondation La Vie au Grand Air.
*   La Cupidité ou l'avarice, Lumen Christi S. Jean Chrysostome, Commentaire sur Saint-Jean, Homélie, LXV,3.
*   QU'EST-CE QU'UNE MAISON ? Par Jean-Paul Demoule, Collège international de Philosophie. Archéologue spécialiste des premières sociétés sédentaires de l’Europe. Paris1.
*    L’Homme et l’Animal, L’Atelier philosophique, philo.pourtous.free.fr, Créé en 1995 à l’initiative de quelques professeurs, Marc Anglaret

juanto
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Fecha de inscripción : 12/12/2008

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