En Rose et Bleu
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En Rose et Bleu
juanto 21.01.17 18:30
Impressions d'un des poèmes de Théophile Gautier poète que j'affectionne tout particulièrement.
Il écrit ce que je pense avec la beauté de son époque, mais surtout avec la beauté de la langue française et son intelligence des finesses.
Comment aurai-je pu écrire une chose pareille moi qui ne suis de mon côté Soleil qu'un simple ibère aussi rude que la terre des montagnes Andalouses, herbes sèches et pierres jaunes et rouges .... et de mon côté Ombre ce lien indien des fils de la terre qui m'aurait vu écrire d'autres subtilités amers, des songes de Lune se plongeant dans l'Azur d'un Soleil couchant...
Il est possible qu'à une époque un peu frivole, les amants et maîtresses en vers ou en proses étaient plus faciles qu'aujourd'hui....
Il écrit ce que je pense avec la beauté de son époque, mais surtout avec la beauté de la langue française et son intelligence des finesses.
Comment aurai-je pu écrire une chose pareille moi qui ne suis de mon côté Soleil qu'un simple ibère aussi rude que la terre des montagnes Andalouses, herbes sèches et pierres jaunes et rouges .... et de mon côté Ombre ce lien indien des fils de la terre qui m'aurait vu écrire d'autres subtilités amers, des songes de Lune se plongeant dans l'Azur d'un Soleil couchant...
Il est possible qu'à une époque un peu frivole, les amants et maîtresses en vers ou en proses étaient plus faciles qu'aujourd'hui....
***
L'intelligence côtoie très souvent la folie
en la voyant voler, bouger ou batifoler
je suis heureux d'être qu'un simple d'esprit.
A la lueur du soleil d'hiver
ses voluptueuses rondeurs
m'émerveillent
Elles agitent mon esprit
me font faire des choses folles
que l'intelligence oublie.
Mélange rosée
et douce blancheur
et douce blancheur
ambré par ma présence
accueille en son temple
au rythme de mes mots
l'épée flamboyante
noyant de plaisir
les larmes de
mes yeux.
mes yeux.
De la petite porte des étoiles
au soleil resplendissant de son sourire
elle m'emporte encore une fois
au-delà du jour et la nuit.
Se voulant insoumise
nous pouvons ainsi nous enfuir
elle se crispant de plaisir
et moi enfin jouir.
* *
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Se voulant insoumise
nous pouvons ainsi nous enfuir
elle se crispant de plaisir
et moi enfin jouir.
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JTC
Última edición por juanto el 21.11.19 9:40, editado 6 veces
juanto- Admin
- Fecha de inscripción : 12/12/2008
l'Insoumise
juanto 22.01.17 17:19
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L' Insoumise
Son sourire est de mise
Son indépendance elle attise
Mais en elle persistent
De braises zones d’ombres
A la façon de cette merveilleuse
Dépendance en mer nuageuse
Sensuelle humidité
Du touché jusqu’au couché
Au simple souvenir de la vision
D’une épaule, de jambes, de muscles tendus
Sourire volumineux, craquant, joyeux
Saupoudré de délicieuse sensualité
Ainsi elle dessine ma vie
Crayonne mes vers
Prisonnier de ses griffes
De son esprit gestionnaire
Elle me prend, m’utilise
Au grès des ses vibrations délétères
Tellement vivifiantes et créatrices
Qu’avec le temps elle me perd
Dans la construction de sa raison
Chaque fois qu’elle me quitte
Que sa peau d’autres doigts l’habite
Dans ces silences monastère
Du travail qu’elle s’acquitte
De ses douleurs qu’elle libère
Au fond de mes vibrations je reste
En défi des épreuves qu’elle me sert
Esquisse un master de valeur
Dans un art savoureux terre à terre
Évoluant de nouveau vers ses instants éphémères
Me plongeant tout droit sur ses trois points que d’elle je préfère.
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L' Insoumise
Son sourire est de mise
Son indépendance elle attise
Mais en elle persistent
De braises zones d’ombres
A la façon de cette merveilleuse
Dépendance en mer nuageuse
Sensuelle humidité
Du touché jusqu’au couché
Au simple souvenir de la vision
D’une épaule, de jambes, de muscles tendus
Sourire volumineux, craquant, joyeux
Saupoudré de délicieuse sensualité
Ainsi elle dessine ma vie
Crayonne mes vers
Prisonnier de ses griffes
De son esprit gestionnaire
Elle me prend, m’utilise
Au grès des ses vibrations délétères
Tellement vivifiantes et créatrices
Qu’avec le temps elle me perd
Dans la construction de sa raison
Chaque fois qu’elle me quitte
Que sa peau d’autres doigts l’habite
Dans ces silences monastère
Du travail qu’elle s’acquitte
De ses douleurs qu’elle libère
Au fond de mes vibrations je reste
En défi des épreuves qu’elle me sert
Esquisse un master de valeur
Dans un art savoureux terre à terre
Évoluant de nouveau vers ses instants éphémères
Me plongeant tout droit sur ses trois points que d’elle je préfère.
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juanto- Admin
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